kaameloutre1

Les dialogues fleuris de cette série pas comme les autres me ravissent toujours autant les esgourdes. même au bout de 15 redifs. parce que ça balance sec en Bretagne. ça se "quiche la tronche", mais toujours avec panache. surtout aux repas.

Ptit mix sans queue ni tête de tirades à apprendre par cœur et à ressortir lors du prochain dîner chez belle-maman, juste pour rigoler et voir l'effet qu'ça fait:

Karadoc:
"Aaah les p'tits croutons tout vieux genre pour les lapins ? Ouais j'savais pas c'que c'était, dans le doute j'les ai bouffés."

 

Léodagan:
"Sans vouloir la ramener, la seule différence concrète avec des briques,
c’est que vous appelez ça des tartes !"

 

Sélie:
"Vous vous étonnerez pas si vous ressentez une vive douleur sur le sommet du crâne. C’est sûrement que vous aurez pris le plat à gigot dans la tronche ! "

 

Arthur:
"Vous pouvez pas fermer vos mouilles?! (...) avec l’équipe de romanos que je me promène, on n’est pas sorti des ronces."

 

Perceval:
"Si on avait bu un coup dans des trucs qui s'cassent, j'en aurais pété un par terre pour bien montrer comment chuis colère !"

 

Léodagan:
"Le premier pécore qui s'plaint on lui coupe les pieds."

 

Perceval:
"En plus je connais une technique pour tuer trois hommes en un coup rien qu’avec des feuilles mortes ! Alors là, vous êtes deux, vous avez bien de la chance..."

 

Karadoc:
"C'est bien la peine qu'on se saigne aux quatre parfums du matin au soir !"

 

le Duc d'Aquitaine:
"Si j'entends encore un mot plus haut qu'lautre, j'vous renvoie dans vot' bled natal à coups d'pieds dans l'fion, vous pourrez aller ratisser la bouse et torcher l'cul des poules, ça vous fera prendre l'air."

 

Kadoc:
"Pour savoir s’il va y avoir du vent, il faut mettre son doigt dans le cul du coq."

Pour conclure sur une note fraiche et pimpante, on peut toujours compter sur Kadoc.

(au fait, si vous cliquez par endroit, ça vous envoie vers des vidéos, tiens zou, une ptite dernière pour la route!)