petite tête
rêves
souvent, quand je travaille trop,
je rêve de mes projets en cours...
je passe mes nuits à raturer, surligner, refaire mes phrases, redécouper mes personnages, les bouturer, et réagencer tout ça.
et en me réveillant, je crois souvent que j'aurai l'idée de génie, le déclic subliminal, l'inspiration ultime, alors que non,
chuis juste crevée.
*thug life*
eh oué.
recherches botaniques-3
plouf
énigme à deux balles (number 2)
popo & co
c'était la première fois que je découpais un mini rouleau de PQ, et un mini pot.
et tu t'en doutes : j'ai adoré.
(surtout que pour me documenter, j'ai rereregardé les publicités chantées du "trèfle parfumé". aaaaaaaah, les années 80...)
dans un élan créatif élégant et distingué, j'ai eu envie d'en faire un papier peint.
le PQ en all over, ya pas à dire, c'est classieux
tu peux le copier coller pour ton fond d'écran si tu veux, c'est cadeau.
monkey brothers
avis aux mini-pirates
j'fais des choux, des p'tits choux,
petit patapon
ben oui, une bergère qui gardait ses moutons !
♪ ron ron
là jt'en montre juste un, mais en fait, elle en a plein
et ron et ron petit patapon ♫
ça m'a demandé BEAUCOUP de travail, oui.
et ça a généré une "singuite*" monstrueuse.
en effet.
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*singuite, (nom féminin), maladie qui oblige le cerveau à mouliner sur un seul refrain durant toute une journée. voire plus.
quand y'en a plus y'en a encore
petites scènes de la vie ordinaire
toboggan
tu boudes ?
découpeuse professionnelle
ok, j'adore tailler des minislips. c'est ma passion number ouane dans la vie. mais parfois, je m'auto-saoule.
déjà que c'est LONG de découper des mini-trucs, je trouve le moyen d'en découper encore PLUSSE et pour RIEN. ( n'oublions pas que le découpage de minislips est mon métier à temps plein, mon gagne-pain, et qu'il serait donc bienvenu d'être un tant soit peu EFFICACE et RENTABLE)
là, par exemple, je dois habiller cette petite souris. je ne peux décemment pas la laisser cunu.
eh ben, au lieu de lui tailler un ptit zlip tout simple sans surpiqûre ni bretelle, je décide de lui faire une robe chasuble. oui. chasuble. mot compte double.
et au lieu de lui en tailler UNE, je finis par en découper QUATRE.
"pourquoi ?" me diras-tu.
parce que j'hésite, je pinaille, et chuis reloue.
je me dis :
les fleurs, c'est frais, c'est une valeur sûre, mais un imprimé seventies c'est quand même plus funky... en même temps, le madras c'est les tropiques, c'est chaleuuuuuur, ça va bien avec les fruits de la double-page mais le vert d'eau c'est plus doux et moins attendu...
raaaaaaaaaaaaaaah.
donc bon, voilà, la souris défile pour toi :
tu peux choisir ta pref.
et moi, je continue...
des feuilles et des lettres
de l'autre côté de la rue
dans le jardin des voisins,
il y a des courgettes, des cannas, agapanthes, althéas, ipomées, fuchsias, ...
et puis, il y a Nouba aussi.
qui nous attend chaque jour avec sa petite tête yin et yang et ses miaulements de bébé chat.
c'est chouette.
pas besoin de partir bien loin pour changer d'air et de décor.
bon week-end, les gens !