
Bonne nouvelle:
la Nioustar, c'est terminé, on peut enfin se dévouer corps et âme au Docteur House.
Aaaaaaah...
Plonger dans son regard bleu usé comme un vieux jean, rire (ou pas) de ses remarques acides, grossières ou méchantes (ou les 3 en même temps quand il est en forme), se perdre dans ses diagnostics remplis de maladies auto-immunes et de neurofibromatoses auxquelles on pige que dalle mais on s'en fout, claudiquer avec lui de salle d'op' en salle d'examen, s'inquiéter de son addiction aux anti-douleurs, au whisky, aux séries-télé, et aux tee-shirts mal repassés...
De quoi bien remplir nos mercredis soirs.
De quoi nous aider à patienter jusqu'à la prochaine Nioustar, et pallier l'absence terrible de Dédé.
Car comme Dédé, le Docteur House a des doigts de fée jazzy qu'il promène sur son piano à la nuit tombée, comme Dédé, ses répliques font mal ou font mouche, comme Dédé, il a le menton en friche sexy, et comme Dédé il fait mine de ne pas remarquer que les filles succombent à chacun de ses haussements de sourcil,...et ça c'est la grande classe.
(Note aux abonnés de Téléloisirs: oui, je sais que cette semaine le
Docteur s'est immiscé sur nos écrans mardi au lieu de mercredi. Mais avant, c'était le mercredi en
même temps que la Nioustar de M6. Et comme j'avais envie de faire ce parallèle audacieux entre Dédé et le Doc, ben, j'ai refait la grille des
programmes à ma sauce. Na.)